ATTP max : 1 000, ATTM max : 1 000, DEFP max : 1 000, DEFM max : 1 000, DEX max : 1 000, VIT max : 1 000.
Si vous ne comprenez pas ce que cela est, rendez-vous [ici].

Que sont les génies ?

Les génies sont des créatures courantes, aux formes diverses. Il existe des génies liés à des objets, lieux, ou représentant des sentiments, phénomènes... Certains sont extrêmement puissants, et d’autres sont si faibles que les repérer est difficile. La classification des génies est sujette à de vives discussions du C.R.P.S., car d’après bon nombre de chercheurs du centre certains génies sont trop différentes pour être mises ensemble, malgré leurs origines communes. Souvent, les génies sont des divinités anciennes.

génies élémentaux

Ils sont liés à la Nature, aux éléments qui la compose. Cela peut être aux arbres, aux fleuves, aux astres... On retrouve là beaucoup d’anciennes divinités de cultes polythéistes, comme Zeus – qui, oui, existe véritablement. Ces créatures, qui lors des temps anciens étaient très présentes auprès des humains, sont de plus en plus discrètes. Cela tient aux avancées technologiques et au fait que les êtres humains sont de plus en plus sceptiques face à la magie. Avant, les génies élémentaux les plus puissants se servaient de ces derniers comme serviteurs et leur offraient en retour leur protection, mais cela est de moins en moins possible. Possédant de plus en plus de connaissances, les êtres humains sont de moins en moins serviles. Les génies élémentaux peuvent naître d’autres génies où apparaître de façon spontanée.

génies animaux

Ils sont liés à des animaux et ont, en très grande majorité, vu le jour en même temps que ces derniers. Certains sont apparus après la race animale à laquelle ils sont liés, comme essence de cette dernière. D’autres sont apparus avant, crées par une autre entité (ou apparus de façon spontanée) et ont créé des animaux leur ressemblant. Une chose est sure, en tout cas, c’est que si l’animal auquel ils sont liés disparaît, ils disparaissent aussi. Certains tentent donc, en s’incrustant parmi les êtres humains, de lever des fonds pour défendre leurs espèce... ou d’autres y vont carrément par la force, en arrachant la tête de quiconque approche un de leurs protégés. Ce deuxième cas est plus probables, car ces esprits ont un côté sauvage qui leur rend difficile la vie en société humaine, où la Nature a de moins en moins de place.

génies idéaux

Ils sont liés à des idées, à des sentiments... à tout ce qui ne peut exister sans l’intelligence pour le penser, pour le comprendre. Ils ont, pour la majorité, commencé à se développer en même temps que la vie intelligente. De ce fait, ils ont souvent des liens étroits avec les êtres humains, et pour certains agissent directement sur leur destinée, en jouant avec leurs pensées, désirs et même, futurs. Certains peuvent modifier la réalité, ce qui les rend extrêmement puissants... Méfiez-vous, car ils peuvent se trouver partout ! Ayant toujours été habitués à la présence humaine, ils se mêlent avec aisance à ces derniers et vivent parmi eux, les manipulant pour obtenir tout ce qu’ils désirent. Les génies idéaux sont souvent pourchassés par les exorcistes. Les génies idéaux peuvent naître d’autres génies où apparaître de façon spontanée.

génies réifiés

Ils sont liés à des objets, qui peuvent être faits par des humains mais aussi par des créatures inhumaines, ou d’autres génies. Ils sont, de ce fait, rarement très vieux – car il faut une main pour les créer, et la plupart sont issus de l’artisanat humain. Ils sont aussi assez rares, car pour qu’un génie naisse, il faut que l’objet ait été le réceptacle de beaucoup d’émotions, ou ait été soumis à certains actes magiques. C’est alors comme si l’objet obtenait une conscience, et vivait par lui-même. Les génies réifiés prennent des formes différentes et leurs pouvoirs sont assez variés. Le C.R.P.S. en sait assez peu sur ces derniers, leur existence est même contestée par certains, d’autres aimeraient lier cette race à une autre (à celle des golems, par exemple)... Bref, les chercheurs attendent avec impatience d’en trouver un à étudier.