Nom : Orsini Prénom : Nicanore, Thyatira Surnom : Corvo, la Plaie Age, date et lieu de naissance : 25 ans, né à Venise (Italie) le 8 novembre 1990 Race : sorcier Statut : fiancé Occupation : chercheur au sein du C.R.P.S., spécialisé dans l'étude des anges

forces et faiblesses

ATTP : 60 ATTM : 800 DEFP : 70 DEFM : 600 DEX : 90 VIT : 120

Pouvoirs : Nicanore est un sorcier ayant décidé de se spécialiser dans des choses assez… curieuses. Ayant toujours aimé avoir l’ascendant sur les autres, le jeune homme s’est consacré à la création de sceaux de servitude, qui lui permettent de soumettre à sa volonté toute créature. Rares sont les sorciers à utiliser une telle forme de magie, de peur que les êtres piégés, une fois libérés, décident de se venger ! Pour pallier à cette possibilité, Nicanore a créé une forme de sceau magique bien à lui, qui en fait est une malédiction : la garantie forcée. Il oblige la chose soumise à promettre de ne pas chercher à se venger de Nicanore, ou il souffrira trois jours et trois nuits avant de mourir. Une malédiction puissante, qu’aucun n’a encore réussi à briser ! Et, aussi, Nicanore a réussi à créer des sorts de contrôle, qui si ne fonctionnent pas sur des êtres pensants, fonctionnent très bien sur la vermine… de trois mots, le jeune sorcier peut faire aller des bataillons de poux, des nuées de mouches et des troupeaux de rats ! Alléchant.

Forces : Des forces, Nicanore en a. Sa magie est la première : ses recherches et ses sacrifices ont fait que, rapidement, il est devenu un virtuose dans son domaine.  Ce n’est toutefois pas un sorcier d’exception, comme sa jeune sœur Febe… Mais, il a un atout que beaucoup non pas : la créativité. Nicanore ne s’est pas contenté de reprendre des sorts dans des livres. Il les a étudiés, et a créé à partir de ces derniers d’autres, lui convenant mieux.  Le jeune homme cherche aussi à ancrer sa magie dans le monde moderne, et tente désespérément de faire passer des actes magiques au travers de téléphones, ou d’ordinateurs. Nicanore a eu quelques réussites dans ce domaine, et se sert activement de cela pour… des rencontres Internet, en tous genres. Ne vous étonnez pas de le retrouver dans un drôle d’état, dans un drôle d’endroit. Sa dernière force est sa résistance à la douleur, que ce soit la sienne ou celle des autres. Habitué à se blesser volontairement ou involontairement et ayant eu une prime jeunesse des plus catastrophiques pour son mental, Nicanore ressent certes la douleur, mais la supporte jusqu’à un point plus élevé que la plupart de ses comparses. C’est utile quand on est une tête à claques, doublé d’un sadique masochiste.

Faiblesses : Son corps. Son corps tout entier est un point faible ; son enveloppe charnelle est un poids qu’il se traîne. S’il attire à lui la vermine, il attire aussi les maladies… Nicanore est souvent malade : la fièvre semble le poursuivre, son regard est souvent humide, ses joues cireuses et livides. De plus, ses défauts physiques se font de plus en plus nombreux : déjà boite-t-il, du fait d’un mauvais coup du sort. Un jour voulut-il contraindre par la magie quelqu’un, et ce dernier se retourna contre lui, fracturant sa hanche qui malgré les bons soins des infirmières du Centre, ne guérit pas d’une bonne manière. Sa vue s’est aussi détériorée. Non pas qu’il ne voit plus de près ou de loin, mais les fortes luminosités le blessent. Cela est certainement dû à la particularité de son regard : ses yeux sont d’un gris très clair, presque blanc. Et ces derniers reflètent les couleurs l’entourant (le plus souvent, ses vêtements ou ce vers quoi ils sont dirigés). Evidemment, cela intrigue beaucoup de monde… S’il va en plein cœur de Venise, sans lunettes aux verres teintés, Nicanore est assuré de se faire dévisager par la moitié des passants – mais il ne verra rien, car sera aveuglé par le Soleil. Et, non, il ne voit pas mieux qu’un humain lambda dans le noir… Un regard véritablement surnaturel, mais fortement inconvénient.

Du fait de la faiblesse de son corps, le combat n’est pas son fort. Heureusement pour lui, il possède une grande dextérité, ce qui lui permet d’éviter ou de parer les coups qu’on pourrait vouloir lui porter… enfin. Cela a ses limites : il sera toujours bien moins habile qu’un vampire ou un démon ! Nicanore n’a aucune chance, au corps à corps, face à la plupart des êtres non-humains.  Son adresse ne lui sert qu’à voler des choses dans les poches des gens ou gagner aux fléchettes, dans les bars miteux. Parce que oui, Nicanore est un perfide goupil, qui déleste les gens de leurs biens ! Et plus l’objet est important, plus cela lui semble amusant. Combien de clefs, de téléphones a-t-il volé ? le pire, c’est qu’il ne fait rien de tout cela : ses butins finissent, pour la majorité, dans le fond des eaux entourant l’île de Poveglia. En tout cas, lui qui petit s’imaginait devenir un grand exorciste, s’est fait à l’idée que sur le terrain, il ne serait qu’un poids. A cause de ce corps, faible. Humain.

caractère

Caractère : Pragmatique, manœuvrier, audacieux, proactif, perspicace, alerte, ingénieux, rhéteur, érudit.

Excessif, indiscipliné, méprisant, affecté, capricieux, désordonné, incohérent, débauché, parieur.

Anecdotes : Son amour pour les animaux n’a pas de limites… à moins que ce soit son besoin de s’entourer de choses vivantes, qui n’a pas de limites ! En plus de nombreux insectes et araignées, le sorcier possède un varan de plus d’un mètre de long, deux chien-loups et trois chats. Les trois félins sont assurés à hauteur de plusieurs milliers d’euros, car son des bêtes de concours, ayant été médaillés plusieurs fois… On les voit souvent, sur des calendriers. L’un deux, même, sert de figurant dans des séries télévisées italiennes . Il faut dire que vu ses pouvoirs, Nicanore peut diriger avec aise l’animal. Miauler quand il faut, sauter quand il faut ! Le châtain a aussi tendance à considérer Thirza, chercheuse qu’il forme depuis presque un an, comme un de ses animaux domestiques. Elle lui obéit, elle lui appartient…

Il est végétarien, mais ce n’est pas pour autant que son régime alimentaire est très équilibré… Nicanore adore les pâtisseries aux fruits. Tout ce sucre, toute cette crème ! Ah, la crème au beurre… son péché mignon. De plus, ses gâteaux, il ne va pas les chercher n’importe où ! Le sorcier se rend dans une pâtisserie de Venise, dont la clientèle n’est quasiment composée que de végétariens et personnes contre l’exploitation des animaux, dont les revenus sont des plus élevés. Les produits laitiers qu’ils utilisent viennent de petites fermes où les vaches sont bien traitées… paraît-il. Vu le prix que Nicanore paye, cela a intérêt à être vrai ! Et tout ce sucre chèrement acquis, Nicanore l’arrose de vodka, mélangé à un smoothie fait par la même pâtisserie. Quel repas ! mais il lui arrive, bien évidemment, de se contenter de moins : quelques pâtisseries orientales avec une bonne bouteille de whisky !

Les paris, les jeux de hasard… ce sont des choses qu’apprécie Nicanore ! Mais, étrange et morbide sur les bords, ses demandes sont toujours choquantes. Par exemple, il aime parier sur quel exorciste mourra en mission. Le pire, c’est que le sorcier voit souvent juste. Dans 70% des cas, les exorcistes à qui il devine un avenir funèbre meurent, ou reviennent gravement blessés ! De là lui vient son surnom de Corvo (corbeau, en italien), car il est un oiseau de mauvais augure… Certains exorcistes pensent même que c’est un don, et vont le consulter avant de s’en aller à l’aventure. D’autres pensent qu’il joue sur la peur et le fait qu’en effet, beaucoup d’exorcistes meurent lors de leurs missions. On est évidemment plus abattu quand quelqu’un prédit notre mort… et si on voit cela comme la seule issue, on est même prêt à l’accueillir, sans se battre pour survivre ! Mieux vaut ne pas laisser Nicanore approcher des exorcistes se préparant à affronter démons et autres monstres. Le jeune châtain aime mettre en jeu la virginité d’autrui, une séance de fessée ou la prise de potions aux effets inconnus.

Il est toujours bien habillé. Des costumes faits sur mesure, dans des tissus soyeux, aux coutures robustes et à la coupe moderne. Nicanore prend soin de son apparence, jusqu’à l’outrance. Sportif dans l’unique but de conserver sa ligne, il se plaît à écraser ses collègues aux jeux de raquettes, comme le tennis ou le badminton. Il s’en va souvent dans des spa, car cela fait du bien à sa santé… et, qui est en bonne santé a le teint frais et le cheveu brillant ! De plus, cela lui permet de curer son corps de ses derniers excès, Nicanore étant aussi peu soigneux qu’il n’est soigneux… Rien ne semble logique, chez lui. Parce que s’il ne sort pas sans s’être assuré que sa cravate est bien droite, chez lui c’est tongs et jogging ! Il n’y a qu’en public qu’il est ce snob qui ne sert la main d’autrui qu’en recouvrant la sienne d’un mouchoir, qui est horrifiée à l’idée de faire une activité ne serait-ce qu’un peu salissante… En privé, Nicanore est celui qui mange la croute de pizza qui traîne par terre et qui boit plusieurs jours de suite dans le même verre. Mais cette facette de sa personnalité, rares sont ceux à la connaître.

histoire

Histoire : Ses parents se chargèrent juste de lui donner naissance. Juste, un enfant en plus pour donner un peu plus de sens à leur mariage arrangé, dans lequel jamais ne naquit l’amour. Voilà quelle était sa seule utilité, à Nicanore ! Une preuve de la fertilité du couple que formaient ses géniteurs, Luca et Paola. Car, la création d’héritiers pour la famille Orsini était le but le plus important de leur alliance… il en fallait, toujours plus.

Nicanore ne manifesta que très tard ses pouvoirs magiques, ce qui fit que sa mère se détourna rapidement de lui. Un enfant humain ne l’intéressait pas. Elle, désirait une descendance sorcière, puissante. Une descendance qui lui ressemblait ! Elle ne voulait pas s’occuper de choses dont l’avenir serait forcément misérable… des sorciers médiocres, des sujets psis aux dons inutiles, et des humains faibles, l’était Luca... comme Luca. Horreur, erreur ! Paola ne pouvait supporter son époux, et tout ce qui lui ressemblait. Or, hélas pour lui, Nicanore lui ressemblait en une chose : son absence de pouvoirs.

Mais cette ressemblance avec son père ne rapprocha en rien l’enfant de ce dernier. Luca avait déjà un favori : Stefano, l’aîné de la fratrie. Et, humain. Tout le désignait comme futur directeur du C.R.P.S. Et, quel bon caractère ! Quel esprit brillant ! Stefano plaisait à tous et faisait que, de ses cadets, se détournaient les regards… et Nicanore ne pouvait pas même lui en vouloir, car Stefano se comportait en grand-frère exemplaire. Il lui donnait son goûter quand personne ne voulait s’en charger, lui racontait des histoires de monstres terribles pour qu’il puisse s’endormir. Il prenait soin de ses frères (et plus tard, de sa sœur) alors que leurs parents oubliaient leurs prérogatives naturelles.

Cet amour fraternel ne suffit toutefois pas à calmer la rancœur de Nicanore envers le manque d’amour que lui témoignaient ses parents. Il cherchait à attirer leur attention, par des colères dévastatrices et des manières agressives. On l’envoya même voir un psychologue, mais quand ce dernier dit à Luca et Paola que le problème venait d’eux, ils décidèrent de cesser de l’envoyer voir cet homme grotesque. Quoi, un enfant se montrerait irascible juste dans l’espoir que ses parents posent leurs yeux sur lui ? Impensable ! Ou plutôt, Paola s’en moquait et Luca préférait fuir ses obligations familiales…

Ce fut donc sans surprise que Nicanore grandit, pour passer d’enfant violent à adolescent acariâtre. L’adolescence, une période qui n’est bonne que pour peu de personnes ! Ce moment où le corps ne ressemble plus à rien, où l’esprit est agité et tourmenté… Les premiers émois, les premières frasques. Et, c’est encore pire quand on se découvre avoir des pouvoirs ! Oui, Nicanore s’avéra être un sorcier – plutôt doué, qui plus est. Hélas pour lui, quand il s’en aperçut, Febe, la dernière de la famille Orsini, était déjà née et avait pris la place de favorite dans le cœur de Paola. Fille, puissante sorcière, sujet psi aux multiples dons !

Nicanore fit son apprentissage magique seul, s’aidant de la bibliothèque du C.R.P.S. et des ouvrages les moins recommandables qu’il puisse trouver (un adolescent nourrissant des idées noires n’allait pas se diriger vers la magie la plus pure qu’il soit, évidemment). Sa rage d’être considéré comme un rien par ses parents le mena vers les magies de contrôle… Il s’exerça avant tout sur les quatre chats qu’il avait adoptés, qui moururent tous suite à une de ses expériences. Les quatre félins s’entre-tuèrent sans que rien ne puissent les arrêter… R.I.P. Rage, Haine, Terreur et Méfiance, qui aujourd’hui reposent dans un coin des champs du C.R.P.S. Leur perte attrista leur maître, qui toutefois n’arrêta pas ses expériences. Il adopta d’autres animaux, qui subirent bien des choses – certaines douloureuses, mais aucunement mortelles.

Le jeune sorcier devint le premier végétarien à pratiquer la cruauté animale… Oui, végétarien. Faute de se sentir apprécié par ses pairs, Nicanore décida de se tourner vers les animaux. Il arrêta de consommer du lait à 14 ans, et toute viande à 17 ans. Il adopta chats, chiens, reptiles, insectes… Ce fut sur ces tous derniers qu’il continua ses expériences, selon les conseils d’un chercheur du C.R.P.S., Wilfried. Les insectes, des êtres au système nerveux rudimentaire, voire inexistant, qui ne ressentiraient aucune vive douleur si jamais ses expériences échouaient encore ! Wilfried eut un fort impact sur le jeune sorcier : enfin quelqu’un désirant bien lui parler, malgré son mauvais caractère. Il aida, par son influence, Nicanore à trouver sa voie, mais l’attira en même temps sur une mauvaise pente…

A ses dix-neuf ans, le châtain avait arrêté ses études. Aucun métier n’attirait son attention. Les livres de magie qu’il trouvait à la bibliothèque du Centre lui suffisaient. Une perte, d’après Wilfried : il voyait, dans Nicanore, de grandes capacités intellectuelles et une façon de réfléchir parfaite pour la recherche. Le jeune sorcier n’avait pas peur des longues études, des expériences, du sang… un être qui avait tout ce qu’il fallait pour être chercheur au C.R.P.S. ! Le sorcier devint donc son apprenti. D’abord, en trainant les pieds… tout ce qui l’intéressait, c’était ses propres recherches pour son propre compte ! Mais, Wilfried réussit à le faire s’intéresser à ses sujets d’études – les anges. En quelques mois, Nicanore passa de sceptique à enthousiaste face à l’idée de faire de la recherche sur les êtres non-humains.

Sans passer le moindre diplôme, sans avoir à subir la moindre formation, Nicanore devint officiellement chercheur pour le Centre, à 22 ans. Si jeune ! Wilfried avait fait du bon travail : il n’avait pas laissé Nicanore tranquille, un seul moment. Des nuits courtes, des journées longues. Et, pour se détendre… l’alcool ! Le maître était un alcoolique que même les AA n’avaient pas réussi à repêcher. Son influence, si forte sur son élève, fit que ce dernier commença à lui ressembler. C’est qu’ils avaient déjà de nombreux points communs : une personnalité renfermée, capable de facilement se mettre en colère ou de haïr. Une grande capacité de travail et un fort penchant vers les addictions… L’alcool n’était pas le premier vice de Nicanore : collectionneur, et amateur de douleur !

Les étagères de sa chambre ploient sous le poids d’animaux naturalisés (en plus des vrais, qu’il possède : chats, chiens, reptiles, aranéides), de rhytons aux tailles diverses,  d’insectes collectionnés, de fleurs marcescentes qu’il aime faire sécher pour décorer son antre… avec des bougies, des os, des talismans. Pas de doute sur sa nature de sorcier ! Des collections étranges d’objets magiques venus des quatre coins du monde, volés dans la réserve du C.R.P.S. Ce bazar sans nom dans lequel il se calfeutre, pour fuir le dehors… ce dehors qu’il n’aime pas. Même sous alcool.

Peut-être était-ce pour le faire sortir de son antre, peut-être parce qu’il était le seul sorcier mâle de la famille viable pour cela… Ses parents le fiancèrent, à une sorcière un peu plus âgée que lui, d’une famille tout aussi respectable que la sienne. Damhnait. Bien éduquée, une conversation intelligente, et belle ! La jeune femme avait tout pour plaire… On disait tant de choses agréables sur elle que Nicanore crut que cela allait fonctionner. Qu’il allait l’aimer. Qu’elle serait celle qui le ferait sourire, rire et vivre. Il fit même, quelques mois avant leur rencontre, une cure de désintoxication…

La rencontre se passa bien, mais aucun des deux fiancés n’eut l’étincelle, le coup de foudre. Ce fut poli, courtois. Des sourires gênés. La certitude que cela ne fonctionnerait pas, au premier regard. Allait-il être destiné à finir comme son père et sa mère ? Allait-il devoir épouser une personne qu’il n’aimerait jamais, et ne ferait que détester un peu plus chaque jour passant ? Une nouvelle période de doute, qui fut traversée par un drame : Wilfried mourut.

Se suicida. Il sauta du haut du clocher se trouvant sur l’île de Poveglia, comme d’autres avaient fait avant lui. Il ne laissa aucun mot, mais la façon dont il avait rangé ses affaires avant de se tuer témoignaient de sa volonté. Sa chambre avait été nettoyée de fond en comble et ses affaires, disposée de sortes à pouvoir être rapidement mises dans des cartons. Néanmoins, rien ne fut mis dans des cartons : Nicanore décida de déménager ses affaires dans la chambre de Wilfried, augmentant le capharnaüm autour de lui. Se créant une plus grosse carapace, une plus grande muraille ! Puis, il trouva une bouteille de whisky, dans un placard, et sombra de nouveau. Un peu plus loin, cette fois-ci.

Tout alla de Charybde en Scylla : laissé sans guide, le sorcier commença à prendre de bien mauvaises décisions, sur tous les plans. Il se mit à bâcler son travail, à se montrer outrancier avec sa fiancée et détestable avec Thirza, dont on lui avait confié la formation. Il se mit à confondre vouloir et devoir, n’en faisant de nouveau qu’à sa tête, comme lorsqu’il était enfant. Terrible enfant, vomissant ses insultes et son alcool !

Mais, que faire ? Ses parents, l’ayant abandonné trop tôt, n’ont aujourd’hui pas assez d’emprises sur lui pour lui sommer de revenir dans le droit chemin. Ses collègues trouvent plus facile de l’éviter que le confronter. Damhnait aussi, d’ailleurs… elle s’est réfugiée loin de lui, dans une petite boutique au centre de Venise. Elle y passe ses journées, dans son univers dédié à la grâce et l’agilité des danseurs… De nouveau seul ? Presque. Nicanore fait son possible, pour retenir auprès de lui, qui il peut. Il ne veut pas tomber seul, et veut entraîner dans son malheur le plus de personnes possibles ! Certains craignent qu’il prenne la même voie que Parmenas, un de ses frères cadet qui a bien mal tourné. A croire que les enfants Orsini sont voués à la folie… Alors, quelle sera le prochain crime de Nicanore ? Qui blessera-t-il, que détruira-t-il ?

Et c’est super chouette.   Tu as passé tous les tests et tu es encore vivant, on ne peut espérer mieux ! Tu aurais pu te presser un peu plus pour finir ta fiche hein, il y a eu un membre validé avant toi ! C'est une honte ! Fondateur indigne ! Et encore BVG en avatar ? Tu fais une fixette sur lui, tu devrais aller te faire soigner, là.

Mais, avant que je te laisse tranquille, il faut que tu passes par ces sujets :
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Cela aidera les membres à s’y retrouver, à savoir quelle tête est prise ou non, quelle race est jouée et qui fait quoi. Après, libre à toi de faire ce que tu désires sur le forum (dans le respect des règles, évidemment). Bon jeu !