Nom : Orsini, comme la grande famille oui, mais peut-être pas aussi connue que le reste ni avec la même réputation. Prénom :  Uz Cesar mais sérieusement, il pensait que ses parents avaient un peu forcés sur l'alcool en l'appelant Uz, il a préféré se concentrer sur le Cesar. Surnom : Cez, qu'il accepte avec plaisir, ça lui donne un air cool, sauf quand il se fait engueuler. Age, date et lieu de naissance : 22 ans, 5 février, à Florence en Italie. Race : ghoule, cesar est un idiot de première. Statut : célibataire. Occupation : cuisinier dans le service de restauration du C.R.P.S.

forces et faiblesses

ATTP : 500 ATTM : 200 DEFP : 550 DEFM : 250 DEX : 450 VIT : 400
Pouvoirs : (n’oubliez pas de préciser leurs limites - écrivez ici)
Forces : (écrivez ici)
Faiblesses : (écrivez ici)

caractère

Caractère : (au minimum, cinq qualités et cinq défauts)
Anecdotes : Le père de Cesar est inconnu au bataillon et sa mère n'a jamais vraiment répondu aux questions que lui posait le garçon. Alors avec le temps, Cez a laissé tomber, sa maman lui suffit largement après tout. ▬ Cesar ne devrait pas conduire de voiture, non pas qu'il roule trop vite ou trop mal, disons qu'il est du genre à s'arrêter pour laisser passer un oiseau et qu'un papillon le dépasse aisément. De toute manière Cez préfère se déplacer en vélo. ▬ Cez est en admiration totale sur Febe, sa cousine, parce qu'elle est juste super forte et il se demande comment c'est possible. Toute la famille en elle-même est plutôt impressionnante mais ce n'est rien comparé à la seule fille de la famille. ▬ Cesar a un carnet avec lequel il se balade tout le temps, dedans on peut y trouver des poèmes, des chansons, des dessins, des pensées, un peu tout ce qui passe par la tête du garçon et qu'il n'arrive pas à garder. ▬ Cesar est devenu une ghoule grâce à Qutbu, qui l'a sauvé d'une mort certaine, et lui est extrêmement redevable. Toujours à le regarder avec la plus grande admiration du monde, et à vouloir lui donner tout ce qu'il lui demande, il mérite le monde, oui. C'est pour ça que Cesar veut être son calice aussi, pour pouvoir donner tout ce qu'il peut à Qutbu. ▬ Cesar est cuisiner dans le service restauration du centre mais il est aussi pâtissier là-bas, il est tellement à l'aise dans les deux, à croire qu'il s'est presque entraîné toute sa vie pour ça -ce qui n'est pas totalement faux. ▬ Cesar est un accro au thé et aux différents bonbons en tout genre, heureusement qu'il travaille dans une cuisine et peut calmer son ventre comme il le veut.

histoire

"Maman, c'est quoi ça?" "Je ne sais pas, Cesa- noon !" Trop tard. C'est toujours trop tard avec Cesar de toute manière, ce gamin devrait être en surveillance rapprochée tous les jours, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. De toute manière, on ne peut pas vraiment changer le gamin de cinq ans qui vient de mettre toute sa main dans la bouche d'une plante carnivore. Rien que ça. En même temps si sa mère n'avait pas des idées aussi poussées... Elle semble attirée par le danger, à décorer son bureau avec des plantes vertes capables de tuer si on s'approche trop près, et ce n'est qu'au travail ça, on ne parle même pas de la maison avec les couteaux bien tranchants au bord du plan de travail, des serpents qu'elle sort bien trop souvent du vivarium ou encore les échantillons des différentes créatures ramenées au service de recherche du CRPS. Parfois elle doit juste oublier qu'elle a cet enfant qui n'arrive pas à descendre des escaliers sans finir en bas avec quelques bleus -un jour il va se rompre le cou dessus- ou encore qui ne peut pas se pencher au-dessus d'un bassin plein de poissons sans avoir envie d'aller leur dire salut, tête la première.
Heureusement que sa mère a encore quelques réflexes, qu'elle connaît bien les plantes dans son bureau, qu'elle est assez rapide pour taper juste sous la gorge de la plante et qu'elle réouvre sa bouche. Cesar récupère sa main, avec une espèce de liquide dessus que sa mère enlève aussitôt avec une serviette et de l'eau, parce qu'il ne sait pas, mais c'est le liquide que sécrète les plantes pour digérer les bestioles qui ont le malheur de se poser dans leurs bouches ouvertes. De toute manière, le petit avec ses grands yeux verts et ses bouclettes brunes est déjà en train de tirer sur sa main pour la dégager et s'enfuir vers la bibliothèque, l'endroit où Cesar se trouve le plus souvent, entouré d'un million de livres qui traite sur tout et n'importe quoi mais, sincèrement, ce qu'il préfère ce sont les poèmes et les pièces de théâtres. Parce que oui, Cesar est un peu précoce pour son âge, il arrive déjà à lire et à retenir beaucoup trop de choses. Il peut vous réciter les instructions que lui donnent sa mère avant de partir tous les jours, sans sourciller et sans reprendre son souffle, un doigt en l'air, très scolaire.

I wish I was a punkrocker with flowers in my hair. Cesar est toujours là avec son casque audio sur la tête, à écouter de la musique, avec ses colliers de fleurs fait avec grand soin, ses grands sourires d'idiots qui creusent ses fossettes et ses aller-retour entre le bureau de sa mère et la bibliothèque. Le problème c'est qu'il chante tout le temps, qu'il est toujours en train de fredonner des airs si ce n'est pas récité une tonne de poésie en découpant ses carottes en forme artistique. Et non, ça ne dérange pas les autres cuisiniers, parce qu'on l'aime bien là-bas, Cez, et c'est surtout ses sourires qui font tout ça, peut-être ses mots gentils parfois aussi, mais c'est un gamin trop bizarre. Il veut toujours rajouter des fleurs aux repas, comme quoi ça change le goût, et il veut toujours faire des mélanges bizarres, parfois sucré/salé (sérieusement les cornichons à la confiture de fraises ou les frites trempées dans de la glace vanille c'est trop top). "Fais attention, gamin!" Ca aussi, c'est répété beaucoup trop souvent, on lui tirerait presque les oreilles pour qu'il fasse plus attention, parce que Cesar chante sans arrêt et ne fait pas attention où il met les pieds, alors il rentre dans tout le monde, cuisiniers, serveurs, diététiciens. Il ne fait jamais attention. "Uh?" Cesar retire seulement un côté de son casque pour pouvoir entendre les reproches, la voix de Joan Jett retentit beaucoup mieux maintenant  que l'écouteur est dégagé et Cesar sourit. Cet imbécile sourit, oui. Avec ses stupides fossettes et l'envie de l'étriper qui va avec. "Désolé." Et on se détourne de lui parce que sincèrement, il est insupportable. La moitié du service est d'accord pour se dire que c'est à cause de ses sourires qu'il est pardonné. Et toujours là.
Et ça aurait pu continuer comme ça, vraiment, tranquillement, jusqu'à la fin de ses jours peut-être, mais non, un incident est arrivé. Cesar, toujours avec sa grâce naturelle, a trébuché et est tombé tête la première dans une vitre. Et à partir de ce moment, tout est devenu flou, il avait juste cette douleur dans tout son corps et du mal à respirer. Sa mère aurait du s'en douter que ça arriverait un jour, que Cesar se ferait assez mal pour perdre beaucoup trop de sang et presque finir par mourir. Heureusement pour lui qu'il a réussit à amadouer un vampire, avec ses grands sourires d'idiots et ses battements de cils -pas sur que ses blagues y soient pour grand chose-, heureusement que Qutbu était là et qu'il n'avait visiblement pas envie de laisser cet imbécile derrière.